Symbiose de l’ancien et du neuf dans un luxueux complexe hôtelier notamment grâce à différents matériaux de Knauf
Le résultat vaut vraiment le détour.
Une nuit avec une vue imprenable sur l’arrière-pays hesbignon ? C’est désormais possible, dans le célèbre château d’Alden Biesen. Un rêve devenu réalité, grâce à la construction d’un hôtel quatre étoiles renfermant 69 chambres et trois suites authentiques.Ancienne Commanderie de l’Ordre teutonique et aujourd’hui centre culturel de la Communauté flamande, Alden Biesen est l’un des fleurons du patrimoine limbourgeois. Les bâtiments historiques du domaine sont protégés depuis l’an 2000 et ont été magnifiquement rénovés. L’église, le Waterburcht et le château classique en sont les principales curiosités, mais la maison du régisseur, qui remonte au treizième siècle, vaut également le détour. A fortiori depuis qu’elle a été superbement rénovée et qu’elle fait partie intégrante d’un luxueux hôtel quatre étoiles.
Mise en exergue des aspects historiques
La maison du régisseur, récemment rénovée, s’intègre subtilement au nouveau complexe, ancré pour sa part dans un magnifique paysage. Le concept architectural, une symbiose subtile avec un volume de construction neuve en L, est tout droit sorti de l’imagination de PCP Architects et Delta VanderAvort Architecten. La nouvelle partie a été conçue de sorte à souligner la partie historique. Elle compte deux niveaux tout au plus afin de ne pas faire d’ombre à la maison du régisseur.
Des matériaux de première qualité
Les fonctions primaires (réception, vestibule, restaurant avec bar central et terrasse…) se nichent dans un pavillon vitré juste à côté de la maison du régisseur, avec une vue directe sur le jardin à l’anglaise. À gauche du pavillon vitré, on retrouve les deux ailes de chambres, qui se rencontrent à la perpendiculaire. Les espaces secondaires, comme la cuisine et les locaux de service, se situent au sous-sol.
La piscine et son espace bien-être donnent sur la terrasse extérieure enterrée. « Dès le stade de l’appel d’offres, les architectes avaient déjà une idée très précise de l’apparence finale de l’hôtel », explique Jeroen Mathijs, chef de chantier chez Building Group Jansen de Meeuwen-Gruitrode, l’entreprise qui a assuré les travaux de finition du complexe. « En témoignent les matériaux de première qualité qui ont été exigés pour la construction, comme les plaques Aquapanel Cement Board Indoor de Knauf pour l’espace bien-être. Elles présentent une haute résistance à l’eau et l’humidité. L’idéal pour un espace avec piscine, sauna et hammam. On retrouve ici aussi les profilés C5 anticorrosion de Knauf, résistants au chlore. Le plafond a, quant à lui, nécessité plusieurs couches de finition pour présenter une surface uniforme. » Atteindre un tel niveau supérieur de finitions fut un jeu d’enfant pour les opérateurs de Building Group Jansen.
Des finitions irréprochables
La maison du régisseur a été restaurée avec goût et intégrée au complexe hôtelier. L’ancienne grange s’est métamorphosée en salle des fêtes. Elle est jouxtée par un bar à whisky, qui, par les petites fenêtres de la maison du régisseur, présente un caractère beaucoup plus sombre et fermé que le bar du pavillon vitré. Le bar à whisky débouche sur des salons conviviaux pouvant servir de petites salles de réunion en journée. À l’étage, on trouve une grande salle de réunion et trois suites luxueuses.
Si Building Group Jansen a été en mesure de fournir un tel niveau de finition, c’est notamment grâce à différents matériaux de Knauf. « 3 380 m² de cloisons de types différents, 2 160 m² de contre-cloisons variées, 1 090 m² de plafond en plaques de plâtre, 120 m² de plafond en Aquapanel et la liste est encore longue », poursuit Jeroen Mathijs. Outre l’aisance de pose et le niveau de finition de haute qualité de matériaux, la collaboration avec Knauf sur le chantier a été une autre belle surprise. « Au moindre problème, notre personne de contact chez Knauf se déplaçait sur le chantier pour imaginer une solution avec nous. Une approche qui porte ses fruits : les gens ne tarissent pas d’éloges sur notre travail », conclut Jeroen Mathijs.
Photographie : Marc Sourbron