Une brique dans le ventre, oui si elle ne reste pas sur l’estomac
Un marquage CE obligatoire
Si le Belge a une brique dans le ventre et que cette brique se décline en de nombreux modèles, leurs qualités ne sont pas identiques. Outre l’aspect esthétique, plusieurs facteurs, dont la résistance au gel, sont à prendre en considération avant de fixer votre choix.
En effet, toutes les briques absorbent une certaine quantité d’eau en fonction de leur composition et des microfissures qui les composent. Cette porosité devient problématique si la brique est gélive, c’est à dire, si lors de cycle de gel et dégel en hiver, la résistance mécanique de la brique est insuffisante. Après quelques années, cela se traduira par des morceaux qui se détachent dans les coins ou sous forme de plaquettes en façade. Comment éviter ce phénomène ?
Un marquage CE obligatoire
Depuis 2006, toutes les briques doivent posséder un marquage CE qui garantit que leur résistance au gel a été évaluée selon une norme européenne, la NBN EN 771-
1. Cette résistance au gel y est définie en trois classes : F0 : exposition passive (peu ou pas d’eau), F1 : exposition modérée et F2 : exposition sévère.
Comme l’impose l’Union européenne, « le marquage CE doit être apposé de façon visible, lisible et indélébile sur le produit de construction ou sur une étiquette qui y est attachée. Lorsque la nature du produit ne le permet pas ou ne le justifie pas, il est apposé sur son emballage ou sur les documents d’accompagnement. »
Une première manière de vous assurer que la brique est apte à l’emploi est de contrôler son marquage CE ainsi que le fait qu’elle réponde à la classe F2.
Une déclaration de performance
Toutefois, une fois sur chantier, il est parfois trop tard pour modifier le choix d’une brique. Au préalable, demandez donc au fabricant la déclaration de performance de la brique pressentie. Elle attestera de la résistance au gel selon la NBN EN 771-1 ou mieux encore selon la norme Belge NBN B 27-009/A2 qui est légèrement plus sévère.
L’analyse préalable de la déclaration de performance d’une brique, ainsi que le contrôle de son marquage CE sur chantier, sont des moyens complémentaires et peu chronophages, de vérifier si la brique que vous avez choisie pour ses aspects esthétiques est non gélive et apte à l’emploi, afin que ce choix ne vous reste pas sur l’estomac quelques années plus tard.
En effet, toutes les briques absorbent une certaine quantité d’eau en fonction de leur composition et des microfissures qui les composent. Cette porosité devient problématique si la brique est gélive, c’est à dire, si lors de cycle de gel et dégel en hiver, la résistance mécanique de la brique est insuffisante. Après quelques années, cela se traduira par des morceaux qui se détachent dans les coins ou sous forme de plaquettes en façade. Comment éviter ce phénomène ?
Un marquage CE obligatoire
Depuis 2006, toutes les briques doivent posséder un marquage CE qui garantit que leur résistance au gel a été évaluée selon une norme européenne, la NBN EN 771-
1. Cette résistance au gel y est définie en trois classes : F0 : exposition passive (peu ou pas d’eau), F1 : exposition modérée et F2 : exposition sévère.
Comme l’impose l’Union européenne, « le marquage CE doit être apposé de façon visible, lisible et indélébile sur le produit de construction ou sur une étiquette qui y est attachée. Lorsque la nature du produit ne le permet pas ou ne le justifie pas, il est apposé sur son emballage ou sur les documents d’accompagnement. »
Une première manière de vous assurer que la brique est apte à l’emploi est de contrôler son marquage CE ainsi que le fait qu’elle réponde à la classe F2.
Une déclaration de performance
Toutefois, une fois sur chantier, il est parfois trop tard pour modifier le choix d’une brique. Au préalable, demandez donc au fabricant la déclaration de performance de la brique pressentie. Elle attestera de la résistance au gel selon la NBN EN 771-1 ou mieux encore selon la norme Belge NBN B 27-009/A2 qui est légèrement plus sévère.
L’analyse préalable de la déclaration de performance d’une brique, ainsi que le contrôle de son marquage CE sur chantier, sont des moyens complémentaires et peu chronophages, de vérifier si la brique que vous avez choisie pour ses aspects esthétiques est non gélive et apte à l’emploi, afin que ce choix ne vous reste pas sur l’estomac quelques années plus tard.